On s’installe sur une des tables de jardin pour un thé à la menthe. On se retrouve autour du terrain de pétanque pour une partie entre amis. On s’assoit à l’ombre de majestueux chênes séculaires qui en plein été nous redonnent la fraîcheur attendue.
Dans les Cévennes, du 18ème au 19ème siècle, certaines fermes s’étaient spécialisées dans l’élevage des vers à soie pour les tisserands lyonnais. Le jardin était planté de mûriers blancs, cultivés pour leurs feuilles qui nourrissaient les vers.
Cette plantation de mûriers, qui avait été petit à petit abandonnée, a été sauvée par Guy et Gauthier qui ont voulu garder le caractère unique et sauvage de l’endroit. Aujourd’hui, la nature revit et de nouvelles plantes apparaissent naturellement.